Qu’il s’agisse d’immeubles préexistants ou nouvellement construits dans le cadre des projets de rénovation urbaine, le principe de résidentialisation — une délimitation matérialisée entre domaine public et privé aux abords d’une unité résidentielle — s’est imposé dans de très nombreux projets à partir des années quatre-vingt-dix. DIV et DGHUC ont voulu à l’occasion d’une journée de réflexion, le 22 octobre 2002, parcourir un certain nombre d’expériences en la matière, en compagnie de concepteurs et de représentants de collectivités locales. L’occasion d’entériner quelques acquis incontestables mais aussi d’alerter sur les limites de la systématisation hâtive d’un principe de projet non dépourvue d’inconvénients. AVDLV a synthétisé et rédigé l’ouvrage-témoin de cette rencontre « Résidentialisation une nouvelle urbanité ? ».
Référent : Ariella Masboungi